home / Les brèves de mai 2000 (II) / Omar Khayyam
«Personne ne peut comprendre ce qui est mystérieux. Personne n'est capable de voir ce qui se cache sous les apparences. Toutes nos demeures sont provisoires, sauf notre dernière: la terre. Bois du vin! Trêve de discours superflus!» «Un jardin, une jeune fille onduleuse, une urne de vin, mon désir et mon amertume: voilà mon Paradis et mon Enfer. Mais, qui a parcouru le Ciel et l'Enfer?» Omar Khayyam, (1048, 1122) Il existe chez «mille et une nuits» une édition à 10 ff des Rubaiyat (quatrains) de Khayyam. |
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Stanislas Bergamote © le Soleil se lève à l'Est - 18/05/2000 - Ville de Talange - Nauroy-Rizzo - micro-Momentum |