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insi Monsieur, suivi de son épouse Jany, de ses filles, gendre et associés n'a pas supporté la discussion avec un semblant d'opposition au sein de son parti. Lorsqu'il disait « je préfère ma fille à ma cousine, ma cousine à ma voisine, ma voisine à etc.», ces sympathisants y comprenaient que les immigrés étant les plus lointains, ils méritaient d'être les derniers à bénéficier des faveurs de l'Etat.
En fait, il fallait comprendre que sa famille se servirait d'abord, qu'il resterait les miettes pour le militant et rien pour les autres (vous j'espère et moi sans doute).
Le grand-père du petit peuple d'extrême droite ne supporte ni remise en cause de sa position de mâle dominant, ni des intérêts de son clan.
Gageons que ses sympathisants et électeurs comprendront que le front national est le parti le plus opposé à leur propre intérêt.