n savait depuis quelque temps que le parti de
Jaimelepet était du genre indéterminé, ni masculin ni féminin puisque son vrai nom était «la front
national». Puis il s'est mis au pluriel : les fronts
nationaux. Aujourd'hui le tribunal de grande instance de Paris doit lui redonner sa singularité.
L'affront national sera de nouveau unique avec dans sa poche revolver un clone prêt à dégainer : le mouvement
national. Cet amour pour le mot
«national» mérite une récompense de la France. Ainsi nous suggérons à l'état de les
nationaliser tous les deux, de mettre à leur tête un élève de
l'école nationale d'administration, par exemple le préfet Bonnet (promotion Guernica ça ne s'invente pas !!!), qui aura pour mission de souffler avec l'efficacité que l'on sait sur la flamme tricolore emblématique.
Résultat spectaculaire !!!