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l est peu de dire qu'en ces temps noirs certaines informations paraissent dénuées de tout intérêt.
Les querelles politico-franco-françaises par exemple semblent vides au point qu'on a l'impression de voir s'agiter de gentilles marionnettes sur un théâtre de boulevard quand l'un ou l'autre de nos leaders s'essaie à commenter les événements. Les figures charismatiques de Massoud et Ben Laden illustre à merveille la différence d'engagement qu'il peut y avoir entre un politicien enarquisé et celui dont la vie se confond avec son engagement.
Palots sont les notres, palots ils resteront longtemps !
Devant tout ça la rentrée littéraire fait flop, la rentrée médiatique fait pschittt et la rentrée sportive fait sourire jaune.
C'est curieux, il n'y a aucun pilote afghan en F1, ni de pilote africain d'ailleurs ! Comment est-ce donc possible ?
Bon, mais quand même, apprendre par une dépêche d'agence que les balles de tennis vont changer de taille et de poids selon la nature des terrains et que les règles du tie break vont être adaptées pour mieux s'inscrire dans un programme télé, alors là, il faut bien dire que ça nous la coupe au ras des moustaches.
Au fait, la Tchéchénie, combien de terrains de tennis ?