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ous évoquions, il y a peu, le décès de Lolo Ferrari. Cette jeune femme eut son heure de gloire grâce aux modifications esthétiques qu'elle s'était autorisée sinon infligée. En particulier la transformation de sa poitrine en quelque chose de monumentale qui n'avait avec la glande mammaire originelle plus grand chose à voir, peut-être l'emplacement.
Il est amusant de voir dans le nouvel Observateur une publicité pour le soutien gorge «Délinéator» de Berlei. Soutien gorge qui diminue le volume des seins immédiatement de deux tailles par simple agrafage. A notre connaissance c'est la première fois qu'un tel système fait de la pub, on était plutôt habitué à voir des machins rembourrés avec de petits coussinets, des poches de gel. On sait également l'importance de la chirurgie esthétique et son utilisation non seulement par les stars du cinéma mais également de plus en plus souvent par la femme (et l'homme) de la rue.
Soudain nous revient en mémoire la réflexion d'une amie étonnamment pourvue qui se plaignait de n'être jamais regardée dans le yeux.