e nouveaux détecteurs de mensonges arrivent. Ils fonctionnent selon des techniques différentes.
L'un analyse des différences thermiques provoquées par les flux sanguins sur le visage. Ces flux non controlables sont provoqués par des émotions, il suffit d'arriver à faire la différence entre toutes pour déterminer laquelle est à l'origine du rougissement. Le suspect n'a pas intérêt à penser aux gateries que pourrait lui faire telle star au moment où on l'interroge. Sinon, il serait coupable jusqu'au bout des pores.
D'autres photographient l'activité du cerveau en utilisant l'IRM (imagerie par résonnance magnétique). La limite de cette technique vient du la nécessité pour la personne testée de posséder un cerveau ! En période électorale il apparaît que beaucoup en sont dénués.
Qui a parlé de JL Debré ?
Quoi qu'il en soit c'est une catastrophe. Si l'individu n'a plus la possibilité de se réfugier dans un monde parallèle qui lui est propre et qu'il lui faut à chaque instant justifier de l'authenticité de sa pensée et des mots qui en découlent, alors le propre de l'homme qui est de «se savoir être» et de «se donner à voir» risque de disparaître.
Y'a plus qu'à lui implanter un microprocesseur contrôlé à distance par la communauté.