C

'est vrai que le mauvais temps a de bons côtés.
Par exemple pour les fabricants de parapluies.
La vente de pépins a progressé de 30 à 40 % en 2000. C'est bon pour la production française en chute globale de 50% sur les 3 dernières années. Il n'y a plus que 10 fabricants dans l'hexagone alors les e-gars il faut les soutenir et appeler au retour des orages. On pourrait même faire une e-pétition pour accélérer le réchauffement de la planète et perturber le régime des précipitations !
Les conséquences seraient globalement difficilement prévisibles, sauf justement sur la vente de parapluies et la vie de couple dont Brassens rappelait la relation intime et permanente avec le ciel et ses intempéries !
Surtout si l'un des deux partenaires est marchand de paratonnerres ! Cette influence est sensible également en montagne où dans une station de ski, un hôtelier de ma connaissance me disait l'air entendu et l'œil égrillard «la neige ça rend les femmes folles !».
Bon, Aurillac, capital du parapluie est contente c'est l'essentiel.
C'est marrant ces villes qui ont comme ça des spécialités, Romans capitale de la chaussure, Millau capitale de la ganterie, Saint Claude, de la pipe Longwy des émaux, Vire de l'andouillette, Die de la clairette.
Ou Condom capitale de l'imperméable.